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Que venez-vous chercher ?

Direction spirituelle ?

La direction spirituelle est un accompagnement personnel qui aide une personne à grandir dans sa vie intérieure et à approfondir sa relation à Dieu, ou plus largement sa quête de sens. Elle repose sur un dialogue régulier avec un accompagnateur spirituel — prêtre, religieux, religieuse ou laïc formé — qui offre une écoute attentive et bienveillante. Cet accompagnement permet de relire sa vie, ses expériences, ses joies et ses épreuves à la lumière de la foi, afin de discerner ce qui fait avancer intérieurement.

La direction spirituelle n’est ni une thérapie psychologique ni un simple échange de conseils. Elle ne se confond pas non plus avec la confession, même si ces démarches peuvent être complémentaires. Son objectif n’est pas de décider à la place de la personne accompagnée, mais de l’aider à reconnaître l’action de Dieu dans sa vie, à progresser dans la prière et à poser des choix libres et responsables.

Ouverte à toute personne croyante ou en recherche, la direction spirituelle est un chemin de croissance et de discernement. Elle soutient celles et ceux qui désirent unifier leur foi et leur vie quotidienne, traverser des périodes de doute, ou approfondir leur engagement spirituel avec plus de clarté et de paix intérieure.

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Confession et réconciliation ?

Reconciliation — Verzoening
Confession — Biecht

Le sacrement de la pénitence ou de la réconciliation est par excellence le sacrement de l’amour et de la consolation de Dieu. En tout premier lieu, se confesser, c’est confesser l’amour de Dieu et sa miséricorde. Et se rappeler la grâce du baptême qui nous a arraché au pouvoir du mal. Dans la suite de notre existence, le sacrement de pénitence est un peu un nouveau baptême. Après « l’eau du baptême », « les larmes de la pénitence »…

Pour la foi catholique, il existe un péché originel. Par son incarnation rédemptrice, (du latin redimere, « racheter c’est-à-dire payer la rançon d’un captif pour lui rendre la liberté »), le Christ en délivre l’humanité. Mais un principe du mal reste à l’œuvre dans le monde. Le cœur de l’homme est parfois lourd et endurci, opaque à lui-même. La vie nouvelle reçue au baptême ne supprime pas la fragilité et la faiblesse de la nature humaine. L’inclination au péché demeure dans les baptisés. C’est l’occasion pour eux de faire leurs preuves dans le combat de la vie chrétienne avec le soutien de la grâce du Christ. En effet la confession régulière des péchés aide à former la conscience, à lutter contre les penchants mauvais, à se laisser guérir par le Christ, à progresser dans la vie avec l’Esprit-Saint. En recevant fréquemment, par ce sacrement, le don de la miséricorde du Père, nous sommes poussés à être miséricordieux comme lui.

Pourquoi demander le sacrement de réconciliation ?

Parce que c’est une rencontre vivante avec la miséricorde, même si l’aveu est une démarche exigeante. « On peut ressentir de la honte. C’est une bonne chose, assure encore le pape François. Il est bon d’avoir un peu honte, car avoir honte est salutaire. La honte rend plus humbles, et le prêtre reçoit avec amour et avec tendresse cette confession et, au nom de Dieu, il pardonne. » Alors on peut être résolu à reconstruire avec Dieu ce qu’on détruisait par le péché. C’est la pénitence envers soi-même, les personnes que l’on lésait, l’Église ou le monde. Dieu lui même prend alors en charge ce qui parait humainement irréparable. Le pardon est un cadeau.

Sacrement des malades ?

Onction des malades - Ziekenzalving

Le sacrement de l’onction des malades est assez méconnu, souvent associé à l’extrême onction, et par conséquent à tout ce qui touche à la mort et aux questions existentielles de l’homme.

Le sacrement des malades a pour but de donner une aide spéciale au chrétien confronté aux difficultés d’une maladie grave ou de la vieillesse. Le chrétien peut recevoir le sacrement des malades chaque fois qu’il est atteint d’une grave maladie. C’est le sacrement de la présence du Seigneur à nos côtés dans les moments d’épreuve que sont la maladie ou la vieillesse. La célébration de ce sacrement consiste en l’onction d’huile bénite sur le front et en l’imposition des mains. Consacrée par l’évêque lors de la messe chrismale annuelle, l’huile dite des malades apporte force et douceur. Elle pénètre la peau, répand sa bonne odeur, fortifie le corps. Voici les mots qui accompagnent l’onction avec l’huile sainte sur le front et dans les mains des malades :

Par cette onction sainte, que le Seigneur en sa grande bonté vous réconforte par la grâce de l’Esprit Saint. Ainsi, vous ayant libéré de tous péchés, qu’il vous sauve et vous relève.

Avec l’imposition des mains, l’onction rappelle l’attention et la tendresse de Jésus Christ envers les personnes malades.« Si l’un de vous est malade, qu’il fasse appeler les anciens de la communauté qui prieront pour lui en pratiquant une onction d’huile au nom du Seigneur. Leurs prières, inspirées par la foi, sauveront le malade, le Seigneur le relèvera, et s’il a commis des péchés, ils lui seront pardonnés. » Jc 5, 14-15

Bénédiction des personnes ?

Bénédiction — Zegening

Bénir – littéralement « dire du bien » – est la forme première de l’action divine. Bénir est aussi l’une des actions rituelles les plus universelles. Dieu crée le monde en le bénissant, en l’ordonnant au bien. Les hommes lui répondent en bénissant son nom, et en bénissant en son nom les personnes, les lieux et les choses. Les bénédictions apparaissent ainsi comme une manière courante pour les hommes de prendre part à l’oeuvre de Dieu.

Aussi la prière se fait-elle réponse à cette bénédiction qui vient de la bouche de Dieu. La prière de bénédiction est avant tout l’action de bénir Dieu, de dire et de clamer que tout bien vient de lui, qu’il est la source de tout bien. C’est d’ailleurs la prière que formule le Seigneur Jésus, au moment d’entrer dans sa passion : « Pendant le repas, Jésus ayant pris du pain et prononcé la bénédiction, le rompit, leu leur donna » (Mc 14, 22). Depuis ce jour, la bénédiction se révèle comme une des attitudes fondamentales du chrétien, une des formes essentielles de sa prière.

Bénir les personnes est comme une participation des hommes à l’action même de Dieu. Il ne s’agit pas d’un acte superstitieux ou magique, mais d’un acte rituel missionnaire et proprement évangélisateur qui ne saurait donc pas être regardé comme une forme secondaire de la sacramentalité.

La célébration chrétienne des bénédictions vient donc évangéliser, c’est à dire orienter vers sa source et vers sa fin, la requête humaine de protection et de reconnaissance. Elle vient tourner les cœurs et les regards vers le Père donateur de vie par son Fils dans l’Esprit.

«  les bénédictions instituées par l’Église sont des signes sensibles par lesquels « sont signifiées et réalisées d’une manière propre à chacun d’eux » à la fois la sanctification des hommes dans le Christ et la glorification de Dieu (Préliminaires généraux n° 9) ».

Bénédiction des objects ?

Scapulaire — Scapulier

« Les objets de piété que vous avez apportés à bénir expriment votre foi d’une certaine manière, car ils ont pour rôle de vous rappeler l’amour de Notre Seigneur et d’augmenter votre confiance dans l’aide de la Vierge Marie et des saints. En appelant sur ces objets et ces images la bénédiction de Dieu, il faut avant tout être attentif à donner nous-mêmes le témoignage de vie chrétienne qu’on est en droit d’attendre de nous, si nous nous servons de ces objects. » (R/ 1168).

Demande de guérison ?

Demande de guérison — Gebed om genezing

L’EspritSaintdonne à certains un charisme spécial de guérison (cf. 1 Co 12, 9. 28. 30) pour manifester la force de la grâce du Ressuscité. Même les prières les plus intenses n’obtiennent toutefois pas la guérison de toutes les maladies. Ainsi Saint Paul doit apprendre du Seigneur que « ma grâce te suffit : car ma puissance se déploie dans la faiblesse » (2 Co 12, 9), et que les souffrances à endurer peuvent avoir comme sens que « je complète dans ma chair ce qui manque aux épreuves du Christ pour son Corps qui est l’Église » (Col 1, 24).

Demande de protection ?

Demande de protection — Gebed om bescherming

Conscient de ses limites et de sa vulnérabilité, l’homme cherche à apaiser ses craintes devant les dangers de la vie et à recevoir protection et consolation. Les demandes de protection divine sont aussi anciennes que l’humanité. Dans toutes les cultures et les religions du monde, l’homme religieux implore la protection divine par des prières qu’accompagnent rituels et offrandes. (17)

Il peut s’agir de demandes aussi variées que la bénédiction de pèlerins, d’un voyage avant le départ, d’une mère avant ou après la naissance, d’un enfant non encore baptisé, etc. Mais une bénédiction peut aussi être proposée pour un moyen de transport, une maison, un objet de piété (une croix, une médaille). (18)

Demande d’une délivrance ?

Le mot « délivrance » évoque le retour à la liberté après une captivité physique ou morale. Dans le combat spirituel, elle caractérise aussi le dégagement de certaines influences qui peuvent accabler un fidèle croyant; elle s’opère par la prière de l’Église, afin de rendre la personne plus disponnible aux appels de l’Esprit Saint.(49)

Le mal touche à la distinée de l’homme, le désoriente de sa finalité en Dieu. Il peut se traduire par une sorte d’enfermement, d’obsession accablante qui se manifestesur l’esprit, dans l’imagination et l’affectivité. Il en résulte une profonde souffrance. Certains phénomènes d’addiction peuvent y être associés. (50)

Dans sa mission reçue du Christ, l’Église aide les fidèles à entrer dans la vie spirituelle, à mener des combats contre les logiques de haine, de déréliction et d’exclusion, à opérer les ruptures qui s’imposent pour être libérés des influences mauvaises et destructrices qui peuvent être inspirées par le Malin ou interprétées comme telles. Cette mission s’accomplit notamment par la prière d’intercession et de supplication, mais aussi par un sevice de compassion pour le personnes souffrantes, tourmentées, afin de contribuer à raffermir leur confiance en Dieu et à restaurer leur unité intérieure et leur liberté spirituelle. Pour cela, il convient d’être porté dans la prière et accompagné par une communauté de foi. Ces prières seront conduites par une prêtre ou un diacre, ou encore une personne religieuse ou laïque délégué par l’év^que, le curé, ou le responsable de sa communauté d’appartenance. (52)

Ces célébrations seront l’aboutissement d’un processus qui se déroulera en trois étapes:

  • Une phase d’acceuil où la qualité de l’écoute sera déterminante pour le discernement qui s’ensuivra;
  • Une phase d’annonce de la miséricorde de Dieu;
  • Une phase de déplacement d’attente : c’est en s’inscrivant d’abord dans une perspective d »alliance avec le Christ que pourront tomber alors les mauvais liens. (53)

Pastorale Saint Albert


Confession et réconciliation


Demande de délivrance


Sacrement des malades


Demande de guérison


Demande de protection


Bénédiction des personnes


Bénédiction des objects


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